Andori, L'Europe après l'Apocalypse.
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23 ans après l'Apocalypse, la Noblesse est réinstaurée, les Scientistes imposent lentement leur suprématie. Tout ça n'est qu'une façade, venez découvrir la face cachée d'Andori, l'Europe ravagée par l'Apocalypse...
 
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 Sans voiture on rencontre plus de gens.[Neva Benlay][FINI]

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Cavalier Noir
Fauner Konrad Pösen

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MessageSujet: Sans voiture on rencontre plus de gens.[Neva Benlay][FINI]   Sans voiture on rencontre plus de gens.[Neva Benlay][FINI] Icon_minitimeSam 23 Juil - 19:13

[L'histoire se déroule en 2018.]


La Baronne Fauner Konrad Pösen avait le sourire.
Elle se trouvait dans sa voiture, véhicule qui se rendait vers la boite de nuit Le Club Des Damnés.
Fauner se faisait donc conduire en ce lieu pour deux raisons.
La première était qu'une soirée qui réunirais toute la noblesse et les gens en vue de la ville serait présent dans cette boite de nuit.
La seconde et qui avait provoquée d'ailleurs la première, était le fait que Fauner était devenu Cavalier noir du Club des Damnés voilà un mois.
Et pour fêter cela les membres avaient organiser cette soirée qui était une preuve de leur contrôle de la ville.
Et aussi la marque de son acceptation définitive au sein de l'organisation.
Elle ne se leurrait pas, si ses plans n'avait pas convenu aux Rois alors c'est certainement dans un tout autre véhicule qu'elle se déplacerais et non pas sur une banquette arrière qu'elle se trouverais mais belle et bien dans une jolie boite d'acajou.
Fauner adorait être Cavalier noir, véritablement.
Son grand père l'avait préparé pour diriger la Baronnie mais cela n'aurait pas suffit à assouvir sa vie.
Le Club lui allait lui permettre d'employer tout cela dans un but qui la faisait frissonner.
Mais le sourire et toute la joie fut occulté par un bruit sourd et métallique violent.
Le véhicule perdit bien vite de la vitesse et s'arrêta.
« Mademoiselle la Baronne je crains que nous ayons une grave avarie impromptue. »
Dit le chauffeur avant de sortir du véhicule pour s'assurer de la véracité de sa phrase.
Hélas Pösen connaissait assez bien son chauffeur pour savoir qu'il ne devait pas se tromper.
Il était un amoureux des voitures et un pilote émérite sans doute une adaptation psychologique de ses gênes de guépard.
Enfin la Baronne n'attendit pas plus d'une minute et sortie.
Si il y avait eu quelqu'un pour regarder depuis un balcon ou le trottoir il aurait vu sortir une femme grande et blonde vêtu d'une robe de soirée noir.
En observant mieux ce qu'il n'aurait pas manquer vu la curiosité que cette vision aurait suscitée.
Le voyeur aurait pu admirer le visage délicat, les cheveux longs d'or blanc qui tombaient droit.
Des boucles d'oreilles et un collier de diamant. Ce dernier n'enserrant pas la cou mais se laissant glisser sur la poitrine et mettant en valeur le décolleté en V d'un bustier noir.
Le regard de cet observateur aurait alors pu constater que de chaque coté du décolleté partait une bande de tissu qui glissait avec légèreté vers les hanches de la noble pour se réunir sur son bassin afin de former une traine de mousseline de soie. La traine avait pour effet de rehausser ce qui était devant elle soit les jambes nue de la Baronne qui était couverte à mi cuisse d'une jupe légère et plissée. Pour finir ses pieds étaient pris dans de délicats escarpins fins et élancés.
Après s'être tenue quelques instant debout devant l'embrasure de la porte, elle rejoignit son chauffeur en pleine exploration de l'intérieur du capot.
Il l'entendit arrivé et se redressa et d'un air contrit du avoué son impuissance.

« Très bien et qu'à cela ne tienne. Nous ne sommes plus très loin à peine 5 minutes de marche.»
Le chauffeur fut sur le point de répliquer.
«Non vous restez là et faite emporter la voiture. »
Fauner se retourna sans hésitation, alla rejoindre l'arrière du véhicule afin de récupérer son grand foulard carmin qu'elle affectionnait tant. Elle le fit glisser sur ses épaules en le laissant légèrement choir à l'arrière de son dos afin de mieux camoufler sa marque pour le cas ou ses cheveux ne resterait pas en place. Puis elle fit s'enrouler le doux tissu autour de ses bras et avant bras.
Elle employa son pouvoir pour que sa traine se plisse avec élégance et ainsi ne frotte pas au sol.
Ses préparatifs accompli, elle s'élança et marchât d'un pas décidé au milieu de la rue.
Dans les 30 secondes qui suivirent elle avait disparut du champs de vision du chauffeur.
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Kylan Dobrova

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MessageSujet: Re: Sans voiture on rencontre plus de gens.[Neva Benlay][FINI]   Sans voiture on rencontre plus de gens.[Neva Benlay][FINI] Icon_minitimeDim 24 Juil - 14:18

C’est parfois amusant de regarder comme une décision passé pouvait être à l’ origine d’une situation présente alors que l’on n’aurait pas pensé que se choix était sans conséquences.
Cette nuit je n’avais pas sommeil, juste envie de prendre l’air.
Je n’avais même pas pris la peine de me faire plus discrète pour aller explorer pour la énième fois la rue de la capitale, avançant aux légers tintements métalliques des « bijoux » s’entrechoquant dans mes cheveux.
S’était dans ces rue un peut misérables que j’avais accepté l’offre d’une inconnue il y a deux ans…


~ oOo ~

Je venais juste d’avoir vingt-trois ans dont seulement trois de vraie liberté. Enfin je ne me souvenais plus de ce qui précédait l’apocalypse, donc disons trois ans de liberté consciente. Cette amnésie partielle ne me gênait pas, d’où je venais et ce que j’avais été cela ne m’intéressait pas, de toute façon maintenant j’étais trop différente pour prétendre retrouver un passer qui ne me reconnaîtrait pas.

Trop sous qualifiée pour prétendre a un job honnête j’avais commencé à travailler pour la pègre. A force de traîner avec des gens, on fini par crée des liens.
Le jour où c’est arrivé j’était en pleine entraînement avec des amis. Devenir toujours plus rapide plus discret pour obtenir les meilleurs missions et les meilleurs salaires… l’argent était bien notre unique motivation à travailler pour des gens comme la pègre.
L’exercice du jour était de d’aller d’un point A à un point B le plus rapidement possible en évitent les piège soigneusement orchestré par nos chère compagnon.

Mon tour était arrivé et je me trouvais dans une situation pour ainsi dire délicate. J’avais pris le mauvais chemin et je m’étais retrouvé aux beaux milieux d’une rue très passante poursuivie par des pseudos ennemis. La première ruelle venue débouchait sur un cul-de-sac, j’étais donc coincé entre un mur et des amis qui étaient bien décidé à ne pas me laisser reprendre la bonne direction.
L’attitude la plus normale aurait été de taper, après tout s’était un test en situation et tous les coups était permis… Mais faire bassement recourt a la violence n’avais jamais été mon fort. J’observais rapidement ce qu’il y avait autour de moi. Rien à part un mur sans fenêtres à ma droite et un bâtiment en travaux à ma gauche.
Sans trop réfléchir j’avais poussé celui qui se trouvait en dessous d’une ouverture de l’immeuble en rénovation. Dans le mouvement j’avais pris une impulsion pour me hisser dans la fameuse ouverture, ce avec un mouvement souple et rapide.
Je n’allais pas traîner il avait ordre de me filer le train pour me mettre des bâtons dans les roues. D’un bon j’étais descendu, atterrissant un peu lourdement je m’étais relevé avec un soupire et avait recommencé a courir vers la sorti la plus proche, du moins c’est ce que je leur avais fait croire en faisant grincer les gonds et claquer la porte de fortune.
Il s’était engouffré dehors ne remarquant même pas que j’étais très grossièrement caché pour guetter leur bêtise.

Avant de retourner dans la ruelle où j’avais sauté j’avais pris soins de bloquer la porte.


« Elle est maline la garce elle nous à bloquer loin d’elle en nous menant par le bout du nez ! »

Mon grossier subterfuge avait été découvert visiblement… Cette pensé m’arracha un éclat de rire.

« C’est la supériorité du genre féminin messieurs, nous avons un cerveau pour mieux berner votre béate idiotie !
Et aussi forte force brute… mais ça c’est accessoire. »


N’avais-je pu m’empêcher de lâcher à travers le porte qu’ils essayaient désespérément d’ouvrir avant de courir vers mon point B. J’avais eu l’agréable surprise de voir qu’ils n’avaient pas retrouvé leur chemin plus vite que moi vu qu’ils arrivèrent quelques instants après.

Prenez en de la graine mes chez amis, vous avez devant vous la plus rapide et pour cause, je n’ai refait le portrait a personne !

Je leur avais tiré une révérence tout ce qu’il ya de plus moqueuse, qui n’avait eu pour seul effet de m’attiré un tirage de langue intensif de la part de mes collègues masculins.
Nous nous arrêtions là pour aujourd’hui, le rayon orangé d’un soleil couchant caressait déjà l’horizon couvrant de nuances dorées les bâtiments d’Hopera. Il allait bientôt faire nuit et certain d’entre nous avaient du travail.

Personnellement c’était mon cas, sauf que si j’avais su où je devais aller travailler, je me serais sûrement « fait porter pâle », comme on dit de manière distinguée.
En effet j’avais découvert mon objectif du jour au moment de partir.


« Le quartier de la noblesse ?! Tu veux te débarrasser de moi ? »

Il y avait presque quelque chose d’indigné dans la ton utiliser, j’évitais soigneusement les quartiers chic depuis mon évasion d’une famille de noble il y a trois ans. Visiblement mon désarroi n’avait pas l’air de troubler l’homme en face de moi qui m’avait simplement gratifié d’un sourire a la limite du terrifiant.
Visiblement ce n’était pas dans les options de déserter, j’avais simplement fait un crochet par chez moi avant d’aller dans le quartier de la livraison histoire de récupéré des affaires moins usées.
Les lieux étaient calmes, pas de danger apparent ça n’empêchait un frisson de parcourir ma colonne vertébrale régulièrement. Quelques mauvais souvenirs refaisaient surfaces, il s étaient assez peu nombreux, on ne pas dire que j’étais vraiment maltraitée les corrections étaient sévères et relativement fréquente, mais il y avait pire, c’était vraiment ne pas être libre qui me rendait folle. Voyant que je ne reconnaissais pas du tout les bâtiments, je m’étais un peu raisonner, il y avait peu de chance que les gens qui habitaient ai un jour croisé mes anciens « maîtres » ou du moins ils n’habitaient pas près d’eux….

Finalement tout s’était bien passé, l’entrevue avait duré moins d’une minute, juste le temps de remettre le coli et de m’en aller.
Marchant tranquillement, pas presser de rejoindre mon minuscule chez moi, je m’étais fait par dépasser par une voiture, le genre grosse berline qui coûte bien cher. Je n’y prêtais pas vraiment attention dans cette partie de la ville c’était fréquent. Même quand elle s’arrêta, visiblement en panne elle n’attira pas plus mon attention, s’était bête pour eux mais je n’allais pas les plaindre.
Une femme descendit de la voiture, un peu le genre bimbo blonde avec sa robe de soirée, perchée sur ses talons. Enfin peu importait, elle faisait ce qu’elle voulait, ce n’était pas moi qui allait lui dire quelque chose…

J’étais bien parti pour passer mon chemin, parfaitement indifférente aux soucis techniques la jeune femme, mais visiblement le destin en avait décidé autrement. Au bout de le rue trois silhouettes s’était découper dans la pénombre, de loin elles avaient une allure tout a fait naturelle, mais quand les trois personnes a qui elles appartenaient m’avait dépasser j’avais pu voir que ce n’était pas vraiment le cas. Une descente d’hybrides chez les nobles… ça sentait le mauvais coup, assez peu d’entre nous que je connaissais voulait s’aventuré ici. Après je ne disais pas que tout les nobles était des vilain pas beau qui avaient des liens avec les scientistes, mais nous n’étions jamais trop prudent.

Je ne devais pas avoir ce qui les intéressait, il était passé à côté sans même m’adresser un regard. Absolument pas vexé par si peu d’attention, juste curieuse de savoir ce qu’ils faisaient là je les avais suivit du regard. J’avais eu raison de trouver cela louche, il s’était approcher de la blonde, voir même l’avait abordé un peu brutalement, si on peu dire ça comme ça… Trois contre une, même si un talons dans la gueule ça faisait mal, s’était un peu déséquilibré. Avec un soupire j’allais m’interposer entre la bande de gêneur et Mademoiselle a la robe longue.


« Je ne voudrais pas être désagréable messieurs, mais vous devriez passer votre chemin…

Dégage. »

Charmant vraiment… Ne pas avoir eu droit à une vraie éducation n’empêchait pas d’être un peu poli de temps en temps.
Vu qu’il ne connaissait pas le langage civilisé il allait falloir trouver une autre manière de se faire comprendre. Sans prévenir j’avais frappé celui qui avait eu un mot si délicat a mon égard au niveau du foie, et profitant de l’effet de surprise et de la douleur je l’avais mis a terre. Cet imbécile avait laissé traîner son bras un peu trop sur le côté, pour bien appuyer ce que je voulais leur dire je lui avais broyé le poignet d’un coup de talon. Le petit craque des os qui cède avait quelque chose de déplaisant, mais peu être allait-ce être un déclique pour eux.


« On continue à se taper dessus ou vous allez m’écoutez et passer votre route ? »

J’étais parfaitement consciente que ce n’était pas la meilleure des idées que je venais d’avoir, mais malheureusement s’était la seule façon valable de leur faire comprendre ce que je voulais. Si il décidait de ne pas m’écouter, les faible avantages sur terre de mes gènes d’animaux allaient m’être bien utile un peu rapidité et d’agilité en plus ça n’allait pas être de trop.
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MessageSujet: Re: Sans voiture on rencontre plus de gens.[Neva Benlay][FINI]   Sans voiture on rencontre plus de gens.[Neva Benlay][FINI] Icon_minitimeDim 31 Juil - 21:52


Mais qu'elle idiote ! Comment ai je pu baisser ma garde. Pourtant on me l'a répéter bien souvent hors du champs de bataille l'on trouve la mort là ou on se sent le plus en sécurité. Bon maintenant comment vais je m'en sortir ?

Ils n’étaient pas vraiment arrivé discrètement mais elle n'avait pas imaginé que ce qu'elle entendait était un trio d'hybride en chasse.
Bien entendu quand ils avaient été assez près et lui avait éructé dessus un mélange de propos salace et de racisme, elle avait réalisé ses problèmes.
Mais la soirée était pleine de surprise.
Une jeune femme c'était interposé.
Fauner la jugea belle malgré des vêtements qui ne la mettais pas en valeur car fait pour la discrétion.

« Je ne voudrais pas être désagréable messieurs, mais vous devriez passer votre chemin…
Dégage. »
Avait répondu un des trois agresseurs.
Qui subit le courroux de la sauveuse.
Fauner apprécia la maitrise et l'efficacité des gestes de la nouvelle venue.

« On continue à se taper dessus ou vous allez m’écoutez et passer votre route ? »
La noble senti que l'homme sur sa droite allait jouer les brutes.
Fait amusant vu qu'il ne devait pas dépasser le mètre soixante.
Mais ses yeux ainsi que la taille de sa bouche avaient été de précieux indices sur son hybridation.
Elle avança donc et frappa l'hybride crapaud au genou, faisant ainsi raté à sa langue le visage de la sauveuse.
Mais tout comme l'autre femme Fauner ne se contenta pas d'un geste et sa main se tendit pour attraper l'appendice buccale avant qu'il ne retourne dans la bouche de son propriétaire.
La Baronne ne put réprimé un rictus de dégout mais elle teint fermement la langue entre ses doigts et serra et plia.
Un second agresseur se retrouva au sol.
Se tournant vers le dernier des hybrides Fauner l'apostropha.
« Alors maintenant que vos deux compagnons sont au sol, allez vous vous montrer raisonnable ? »
Elle ponctua sa réplique d'une torsion du poignet et fit ainsi gémir le crapaud à ses pieds.

Toi je te sens réfléchir, tu es peut être un hybride bulldog mais tu hésite. De toute façon si tu attaques en nous pensant sans défense car immobilisé pour maintenir tes copains au sol mon écharpe va s'occuper de toi.
La femme était quelque peut enivré par sa nature guerrière oubliant complètement sa tenue et la raison qui l'avait amenée dans cette rue.
Elle était toute concentrée sur les secondes à venir.
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MessageSujet: Re: Sans voiture on rencontre plus de gens.[Neva Benlay][FINI]   Sans voiture on rencontre plus de gens.[Neva Benlay][FINI] Icon_minitimeJeu 4 Aoû - 16:04

Je dois bien avouer que j’étais un peu estomaquer en voyant que la bimbo se avait neutralisé un deuxième hybride à elle tout seule. J’avais pris l’habitude de ne pas me fier aux apparences, mais il y avait pourtant quelques regrettables préjugés qui restaient un peu encrée. Visiblement je n’étais pas la seule à être étonnée que la femme à l’allure de Barbie sache se battre, le troisième hybride n’avait pas bronché. Il se contentait de nous regarder comme si nous venions d’une autre planète.

« Alors maintenant que vous deux compagnons sont au sol, allez-vous vous montrer raisonnable ? »

Le dernier lascar avait l’air de réfléchir, mais pas pour longtemps, il nous avait jaugés, puis jauger la situation de ses camarades et finalement il avait fait quelque pas en arrière pour disparaître au coin de la rue. Doucement mais sûrement j’avais lâché celui dont j’avais broyé le poignet. Il avait poussé un grognement furieux teinté d’un gémissement plaintif a cause de la douleur qui devait lui envahir peu a peu le bras, puis il s’était simplement lever pour aller rejoindre l’autre lâche, non sans m’avoir gratifier d’un sublime regard meurtrier.
Bouh… que j’avais peur… Ironie bien sur.
Je suis sur que malgré cette animosité si il me croisait par hasard dans la rue il se contenterait de baisser les yeux se souvenant que ce soir j’avais baissé son orgueil de mâle en le maîtrisant sans qu’il a vraiment eu le temps de réagir.

Je jetais un petit coup d’œil à la blonde, elle avait su se débrouiller toute seule avec son carpeau, et elle pourrait encore le maitriser s’il faisait des siennes. Je n’avais plus rien à faire là.


« Pour une poupée grandeur nature, on peu dire que vous avez de la ressource. »

En remettant correctement la capuche de mon pull, j’avais repris ma route, dans le sens opposer a celui des deux idiots.

« Bonne soirée quand même Mademoiselle. »

Avais-je lancé, un peu de politesse n’avais jamais tué personne. Je n’avais qu’une seule envie, quitter se quartier, par forcément pour retourner chez moi, mais juste pour être le plus loin possible de mon passer.
A peine avais-je fait deux pas que j'avais commencer a courir, il y avait eu du grabuge dans le rue ça n'allais pas tarder a devenir un endroit ou il se faisait pas bon être quand on était hybrides.
Cette ville n'était pas pour nous quand on voulait être libre, mais après tout il n'y avait pas de bon endroit...

En moins de cinq minutes j'étais loin de tout se bazar... loin de ce quartier... finalement j'étais parvenue a mes fins.


[hrp : désoler c’est court, mais en même temps je ne vois pas quoi faire de plus -_-‘]
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MessageSujet: Re: Sans voiture on rencontre plus de gens.[Neva Benlay][FINI]   Sans voiture on rencontre plus de gens.[Neva Benlay][FINI] Icon_minitimeJeu 18 Aoû - 22:05


Le dernier Hybride s'enfuit.
Puis celle qui était accouru avait lâchée sa victime.
Fauner hésita un instant mais maintenant qu'il n'en restait plus qu'un...
Elle lâcha le crapaud qui put bondir à la suite de ses amis.
Elle regarda sa main et fit une grimace qui exprimait un BEUUUUrk retentissant.
La Baronne allait demander si sa sauveuse avait un mouchoir quand celle-ci lui parla.

« Pour une poupée grandeur nature, on peu dire que vous avez de la ressource. »
Merci pour l'image, je la travail beaucoup.
Fauner allait sourire mais sa sauveuse remettait déjà la capuche de son pull et s'en allait.

« Bonne soirée quand même Mademoiselle. »

Fauner était déçu et regarda la jeune femme s'en aller.
Je te retrouverais, je ne sais pas comment mais je vais te garder un pion pour toi. Tour blanche et reine noir m'y aideront.

Sur ces pensées la Baronne parti vers sa destination.
Quelques minutes plus tard elle arriva au devant du Club Des Damnés.
L'arrivée de Pösen se fit remarquer.
Il faut dire qu'arriver à pied en plein milieu de la route n'est pas vraiment discret.
L'importance de la soirée avait créé de chaque coté de l'entré du bâtiment une allée de photographe.
Fauner se mit en place et laissa les flash la submerger.
Puis un journaliste plus courageux que les autres ou inconscient.

« Baronne Pösen votre baronnie aurait elle quelque problème pour ne plus pouvoir vous payer une voiture ? »
« Non mon cher, voyez vous j'ai des jambes donc les emploies. »
En disant cela elle mit en avant sa jambe droite afin de bien appuyer sa phrase.
« Vous devriez en faire de même avec votre cerveau. »

C'est sur ce quolibet que Fauner s'avança et entra dans la boite de nuit.
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MessageSujet: Re: Sans voiture on rencontre plus de gens.[Neva Benlay][FINI]   Sans voiture on rencontre plus de gens.[Neva Benlay][FINI] Icon_minitime

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