*D’une écriture forcé, baveuse, raturée et bourrée de faute d’orthographe. Certaine lettre se sont légèrement effacé, l’œuvre d’un (ou une gauchère)*

J’ai beaucoup aimer le premier numéro, je lirais le prochain ! C’est vrai que ça srais bien d’ête o couren des nouvelle de ce qui se passe dans Hopera...


(Franchement rien à déclarer, c’est trop excellent ! peut être qu’il faudrait revoir les fautes au niveau de l’entretien avec Narcisse. Mais c’est tout ce que je vois à changer ! Maintenant repos !)

Oui, j'avoue avoir tellement eu envie de bouclé, que la relecture pour les fautes... Faut vraiment que je le fasse. Je me suis donné une semaine de délais X_X

(Si jamais quelqu'un veut le faire, je dis pas non. Ahah. J'aime exploité les gens. J'ai compris, je me tais.)

[HRP : J'adooooooooooooooooooooooooore <3 Michi pour l'article XD]

"Demandez le spiritus life, le seul journal libre d'Hopéra. Demandez le spiritus!"
Il ne devait pas avoir plus de douze ans, frissonnant dans ses vêtements rapiécés. Les passants le regardait d’un air intrigué, mais passait rapidement leur chemin. Félicia lui tendit quelques pièces en échange de la feuille de chou.
Intéressant, un canard se prétendant indépendant. Certes il boite un peu, et semble porté sous la ceinture… Disons qu’il s’agit d’une ruse pour se mettre au niveau de la populace. Surement comprend-elle mieux ces insinuations salaces que les tenants et les aboutissants du conflit entre scientistes et cultistes. Reste à savoir pour qui œuvre cet agitateur. Un journal indépendant, quelle blague !
Cet interview de Narcisse est-il authentique? Difficile de croire qu’un des hommes les plus puissant de la ville accepte de perdre son temps avec un gratte-papier. A moins qu’il n’ait un plan…J’espère que ce trublion n’y laissera pas trop de plumes.
En tout cas voilà un nouveau phénomène de société qui sera passionnant à étudier. Voyons si ce petit vendeur à la sauvette pourra fournir des informations si je lui offre un chocolat chaud et des vêtements digne de ce nom.

HRP: beau travail. Concernant l'intérêt d'agiter les choses, c'est plutôt risqué, et ça devrait être fait avec modération. L'évolution devrait dans le mesure du possible venir des joueurs, mais le journal permettra d'éviter l'enlisement, sans devoir recourir à des interventions divines? Courage pour la suite. Pour l'orthographe, est moi-même peu doué sur ce plan, je ne vais quère pouvoir d'aider!

Dans un caniveau, Hoshi se pencha vers le bout de papier qui s'envollait pour le jetter dans la poubelle la plus proches. Mais les quelques couleurs pastelles l'interpelèrent. Quel pouvait donc être ce journal qui proposait de distribuer des lettres de menaces et méttait en péril l'équilibre politique actuel.
La jeune fille fini sa lecture, l'enfourant dans une des poche de son sac à dos avant de lever la tête et de tomber sur l'une des affiches mentionnée. Elle chercha dans ses affaires un feutre avant de commencer à notter de son écriture allongée.





Peut-être qu'arrêter maintenant serait une bonne idée. Mais je n'ai jamais eu moi-même ma langue dans ma poche. Alors dire ce que tout le monde veut taire, je pense que c'est le pied. Faites vous plaisir, détruisez tout. De toutes façons, on ne fera pas pire que ces sala*ds de chefs de grandes entreprises, ces banquiers et ces noblent qui ne savent que nous prendre de haut.
Tant qu'au culte, il n'a toujours été qu'une fabulation. N'en parlez plus. Après tout, c'est lui donner bien trop d'importance. Vous même jurez en criant avec votre encre "Oh Amanda". parlait des dieux oubliés ou de la science serait plus inteligent encore. Enfin, anihiler cette fausse religion, ça ne sera pas plus mal. Le culte n'a aucune raison d'êrtre. La science oui. Il est donc normal que la science existe et le culte non.

Par contre, je ne peux confirmer que l'authenticité de la dépendance de monsieur Pétrado envers le café. Quand j'ai été convoqué la dernière fois, une légère odeur, autre que celle d'homme, envahissait la pièce, et quelques gobelets tronnaient de part et d'autre.


La jeune fille hésita à signer, puis se contenta d'une petite étoile avant de rebouché son marqueur et de reprendre la route. Décidément, il y avait des fous dans cette ville grise.

Marc descendit de la passerelle, il pleuvait.
Une pluie comme il n'en avait pas gouter depuis plus de 10 ans.
Il sourit au ciel.
Il observa les badauds absent.
Rectification, il y en avait un.
Il s'approcha de lui.
"Vous êtes quoi ?" lui demanda le jeune homme qui de toute apparence vendait des journaux à la sauvette.
"Bonjour, je suis de Laïca...Commandant Kodiak division 6"
"Vous êtes pas beaucoup pour une invasion."
"Non en effait mais on est biun entrainé."
Marc rit légèrement.
Souriant à l'homme.
"Je plaisante, dites moi mon accent n'est pas traup atroce?"
"Heu...Non ça va."
"Je m'escuse je n'ai pas d'argent Andorien sur moi..."
Le vendeur c'était dressé d'un coup bien droit et avait laissé tombé ses journaux pour prendre ses jambes à son cou.
"Hisako, dis moi tu n'aurais pas tes tatouages faciaux qui serait apparu brusquement avec le reste de ton corps juste derrière moi?" dit un Marc mi exaspéré mi amusé.
"Même si cela est vrai, je ne suis pas laide à ce point Kodiak sama."
"La mort même belle reste la mort et pour toi c'est chan pas sama dans ces moment ou tu oubli être une soldat pour être la jeune fille que tu es."
"Vous voulez que je lise le journal pour vous ?"
"Oui, je crains d'avoir des difficulté les langues ne sont pas mon fort."
Shosuro Hisako lut le journal, Marc lui fit relire plusieurs fois l'interview et d'autres passages.
"C'est fou ce qu'on peut tirer de quelques questions anodine."
"Pour vous peut être mais pour moi il semble juste être un gros faisant."
"Qui te dis que ce n'est pas ce que j'ai aussi conclu?"

Une femme portant un bébé s’approche du panneau. A sa démarche on devine qu’elle est fière de venir griffonner sur le papier.

« J’ai adoré votre article Aujourd’hui, tu es ma cible ! Je crois que je suis fan, j’ai relus vos page des dizaines de fois et je m’en suis même servis comme histoire pour mes 5 enfant, ils ont adorés et moi aussi ! Continuez comme ça monsieur S !!! J’ai hâte de voir paraître le prochain numéro. »

L’écriture est assurée, on sent la passion dans les mots.

Le bébé commence à pleurer. La Mère remet le stylo en place après avoir griffonner « Angeline » Surement son véritable prénom.

La mère et l’enfant s’en vont aussi rapidement qu’ils sont venus. Ma mère heureuse d’avoir poser sa marque sur cette feuille destinée au reporter qu’elle admire chaque seconde d’avantage.

Il fait sombre. Une vague rumeur courrait dans le camp rebelle et les dents avaient légèrement grincé. Comment avait-elle pu laisser son identité presque officielle de telle sorte que l'on puisse la retrouver ?

Il fait nuit. Ses pas ne s'entendent quasiment pas, et tandis qu'elle débouchonne avec précaution un stylo en mauvais état, l'hybride écrivit d'une écriture bâton mais lisible quelques mots sur l'affiche encore intacte.

"Heureusement que rien n'empêche la désinformation, dans ton cas"

Lorcan se promenait discretement dans les rues d'Hopera, ne tenant pas à se faire remarquer par divers chasseurs d'hybride. Elle entendit alors un vendeur de journaux crier les mérites du Spiritus Life. Intriguée par ce journal qui semblait attirer l'attention de nombreuses personnes, la jeune fille s'approcha du vendeur et lui acheta un journal. Elle alla s'accontrer contre un mur, et commença à le feuilleter.
Elle apperçut alors que l'on pouvait laisser ses commentaires; la jeune hybride eut un mauvais sourire, s'approcha d'un panneau, saisit le stylo qui pendait à côté, et commença à griffoner un message d'une écriture un peu maladroite et raturée.

"Cher Monsieur (Madame ?)
Je vous trouve votre journal assez intéressant. Vous apportez un point de vue proche de celui des simples villageois, sur les politiques et autres problèmes de notre société. Quant à votre question sur les marqués, ces êtres singuliers ont reçu une marque provenant d'une divinité que l'on croit ou non en la sois disant existence d'Amanda; il me semble donc que nous devrions laisser ces êtres tranquilles, car cette prétendue Déesse (ou tout autre êtres supérieurs) risquerait d'abattre sa colère.
Cependant, bien qu'appréciant votre journal, je me permes de vous conseiller de laisser les hybrides tranquilles. Pour la futile raison que ces gens ne sont qu'à demi humains, nous devrions ne pas les tolérés ? C'est idiot et immature ! Continuons comme ça, et nous retombrons dans l'ancienne époque, où les gens se faisaient la guerre pour une histoire de couleur de peau ! Enfin bref. Laissez donc leur liberté à ces pauvres êtres. Cela doit surement terriblement les blessés de voir qu'on ne les traîte pas comme les autres.

C'est un simple avis parmis tant d'autres bien sûr"

La jeune fille finit son avis avec un peu de colère et d'ébahissement que cette personne anonyme puisse penser des choses telles que celles qu'elle avait exposé. Elle allait écrire son nom, puis se résigna à ne mettre que ses initiales, L.A. Elle laissa tomber le stylo, tourna le dos à l'affiche et s'en alla.

Annonce : Ceux qui aurait une rumeur croustillante ou un drame important à me communiquer, une boite au lettre est mise à votre disposition, abusez en, je lis tout !

Votre ami (ou pas) Silène. S

cher journaliste impertinent

voilà bien longtemps que nous n'avons oas entendu vos sarcasmes

auriez vous mis la clé sous la porte, ou bien avez vous finalement cédé devant les pressions que vous subissiez, et préféré vous taire plutot que de subir des désagréments?

ouais, c'est de la provoq'!!!